À notre siècle, plusieurs industries se développent et impactent relativement l’écosystème humain. Comme l’a écrit le célèbre Antoine Lavoisier, « rien ne se perd, rien ne se crée : tout se transforme ». S’il existe un moyen de limiter les conséquences négatives des objets de notre quotidien sur l’environnement, c’est de leur accorder une seconde ou troisième vie. Pour mieux cerner le sujet, découvrons les enjeux de ces objets sur notre environnement.
L’enjeu écologique de la réparation des objets
Il paraît normal de s’approvisionner continuellement en bien matériel pour subvenir à ses besoins quotidiens. Mais pour des raisons économiques, il peut être plus avantageux de faire réparer un vélo pour une réutilisation, que d’acheter un nouveau.
Concrètement, hormis le doute sur la qualité du nouveau, ce geste participe grandement à la réduction de la pollution dans notre environnement. En effet, les usines de fabrication en produisent désormais moins et par conséquent, la nature est épargnée des cas de :
- Pollution sonore ;
- D’émission de gaz à effet de serre ;
- De surexploitation des ressources humaines.
De même, la réparation des objets défectueux résout en partie les problèmes liés à l’accumulation des déchets dans les grandes villes. Ces derniers à eux seuls favorisent la dégradation du cadre de vie par la présence de déchet sur les plages ou dans les rues, la perte d’attractivité des sites et les risques sanitaires (blessure, infestation des parasites, pollution des eaux, etc.).
Pour y parvenir, il peut être intéressant de penser dès le début à se procurer des objets dont les pièces de rechange existent sur le marché. Ainsi, il devient plus facile de confier à un professionnel sa réparation, généralement à un coût moins élevé que celui d’un nouveau.
La raréfaction des matières premières
Les ressources naturelles sont en voie de disparition faute à l’exploitation abusive dont ils sont objet. En fait, elles sont pillées de manière à ce que la reproduction ne comble plus vraiment la demande des différentes industries. Il s’agit entre autres de l’eau, des métaux, des substances minérales et organiques contenus dans le sous-sol, etc. À cette allure, la vie devient de plus en plus coûteuse et les conditions climatiques sont également impactées.
Ainsi, une protection de l’environnement consiste à limiter les besoins en ces ressources naturelles par le secteur industriel. Ceci peut être possible en procédant à un usage écologique des objets de notre quotidien.
Avantages de la réparation de vélo pour l’environnement
Les pièces du vélo sont pratiquement toutes recyclables. En fait, la réparation d’un vélo aligne plus d’un avantage pour l’environnement.
Le don d’une seconde vie à un vélo limite la prolifération de certains déchets comme les métaux dans la nature. Déjà, c’est un moyen de transport qui n’éjecte aucun gaz à effet de serre et entretien idéalement la santé humaine. En effet, le vélo est en lui-même écologique, car :
- Il requiert moins de matériaux à la fabrication qu’une voiture ;
- Il évite la congestion routière ;
- Il participe à la préservation des infrastructures.
En gros, en préférant la réparation des objets de notre quotidien, nous participons grandement à la sauvegarde de l’environnement. Évidemment, tous les objets ne sont pas réparables. Néanmoins, il importe de penser aux répercussions qu’un objet jeté (même à la poubelle) peut avoir et d’évaluer en parallèle, les possibilités d’une éventuelle réutilisation.