Le cerveau humain a un système endocannabinoïde
Le corps humain est complexe, constitué notamment d’hormones, de cellules, de globules et de neurotransmetteurs. L’anandamide, cousine éloignée du THC, est produites naturellement dans le corps humain.
Le Docteur Raphael Mechoulam, scientifique qui a découvert le THC et sans équivoque. L’anandamide aurait un rôle de nettoyage du circuit neuronal. Elle permettrait d’effacer certains souvenirs non-vitaux de notre mémoire. Ce qui permettrait de préserver le cerveau, exactement comme le THC.
9 plantes cannabinoïde au pouvoir extraordinaire
Se soigner sainement avec des moyens naturels, existe depuis la nuit des temps. Par exemple, le cacaotier favorise la bonne humeur. L’échinacée est décrite comme un remède pour apaiser la toux et le rhume. Le poivre noir a des caractéristiques anti-inflammatoires. La truffe noire pourrait avoir un effet apaisant tel que les antidépresseurs. Le rhododendron chinois à un pouvoir antimicrobien. L’helichrysum umbraculigerum régule la réponse immunitaire. La brède mafane bloque les récepteurs de la douleur. Le kava est parfois utilisé pour le sevrage d’opioïdes. Le houblon appartient à la famille des cannabinacées.
Toutes ont un dénominateur commun : le cannabinoïdes, attribué d’abord au cannabis. L’équipe d’Allyn Howlett, a trouvé des traces de récepteurs aux canniboïdes dans le cerveau humain. Ceux-ci sont associés à la sensation de plénitude, à l’augmentation de l’appétit et à la somnolence. Tout comme le cannabis. La consommation du cannabis, imite le rôle de l’anandamide lors d’une carence de celle-ci.
L’anandamide se décompose rapidement dans le corps. Lors d’une carence de cette molécule, consommer du cannabis a des effets positifs sur leur métabolisme. Les récepteurs cannabidoïdes, stimulés, ont des propriétés anti-inflammatoires. Ils montrent aussi une diminution de l’angoisse et de l’état dépressif.
Observée, lors d’un état profond de relaxation, l’anandamide est secrétée naturellement. Raison pour laquelle, certaines personnes sont si attachées à la consommation du cannabis. Il faut tout de même être vigilant, car trop consommer de cannabis à fort teneur en THC peut se révéler contre-productif.
La culture du cannabis : naturel versus industriel
Le cannabis à l’état sauvage est nommé « ditch weed ». C’est généralement une petite plante, touffue avec un taux de THC relativement bas. Cela ne veut pas dire que le cannabis avec un haut taux de THC ne se développe pas dans la nature. Mais, il est fort probable que la plante n’arrive pas à ce stade, consommée par certains animaux.
Le taux élévé de THC est donc le résultat d’une intervention humaine afin de satisfaire l’effet planant du cannabis. Le produit final livré au consommateur est la plante femelle non pollinisée.
Le cannabis aime les climats chauds et humides. Mais il pousse aussi dans des climats secs et froids. Les hommes ont constaté qu’il survit dans une multitude de climats différents. Les hommes ont remarqué que la culture de la plante était favorisée par des climats tropicaux et humides, régulièrement, on le trouve dans des lieux bien loin de ses origines. Notamment sous des serres clandestines, ou au détour d’un sous-sol d’une cave.
La weed provoque toujours le débat
Cette plante thérapeutique et médicinale est présente dans nos mœurs depuis des siècles. Le débat portant sur la dépénalisation du commerce fait encore couler beaucoup d’encre.
Vous porterez probablement un autre regard sur les plantes que vous consommerez quotidiennement.